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Courte monographie de 23 feuillets non paginés, illustrée de 32 héliogravures reproduisant les clichés de l'auteur, pour la plupart à pleine page, consacrée aux masques « primitifs » (des arts premiers), avec un essai de caractérisation d'une quinzaine de pages et un index des planches (Les Îles d'or, à la librairie Plon à Paris, 1951). Première (et vraisemblablement unique) édition.
Première édition illustrée du roman En route, de Huÿsmans, le premier texte de ce qu’il convient d’appeler la trilogie de Durtal : typographie soignée de Marius Audin et illustration originale de Malo Renault pour l’éditeur René-Louis Doyon (La Connaissance, 1921).
Ouvrage de référence sur les châteaux de la Loire, avec une abondante iconographie, publié aux éditions Alpina en 1931 (d'une qualité équivalente aux titres de la collection « Les beaux pays » chez Arthaud). Texte de François Gébelin. Reproductions en couleurs d'aquarelles originales de Marius Hubert-Robert. Il fut réimprimé plusieurs fois jusqu'aux années 1960.
Bonne édition typographique de ce texte majeur de Cicéron, trait d'union entre la pensée antique et chrétienne médiévale (Maurice Glomeau, Paris, 1913).
Essai de Pierre Jean Jouve, illustré dans le goût de « Art déco » des dessins de Cassandre pour les costumes et décors de l’opéra Don Giovanni, de Wolfgang Amadeus Mozart, à Aix-en-Provence. Édité à Genève, par René Kister, en 1957. Édition originale trilingue (Français, Allemand et Anglais) illustrée. Peu commun.
La Duchesse de Padoue occupe une place particulière dans l’œuvre d’Oscar Wilde : œuvre de jeunesse, c’est une pièce en vers, la seule qu’écrivit l’auteur ; en outre, il s’agit d’une commande. Sur le plan formel et par son thème, elle a tout du drame romantique : la cruauté, le meurtre, l’amour —ou plutôt, la passion— s’y disputent la scène ; de prime abord, elle peut apparaître comme un drame « hugolien » et pourtant, il s’agit d’autre chose. Cette pièce en vers, en effet, marque l’élan du poète : pendant les dix années qui suivront, Oscar Wilde n’écrira plus pour le théâtre, mais des nouvelles, des contes et, surtout, des poèmes. Et quand il y reviendra, ce sera pour produire un autre style de pièces (mis à part Salomé, dernière manifestation du Wilde tragédien moderne).